Il s'agit en fait de mettre un frein au développement des fluides frigorigènes de type HFC (hydrofluorocarbures) utilisés pour rafraîchir les locaux des entreprises, des hypermarchés, mais également des voitures, ceux-ci ayant un impact négatif sur le réchauffement climatique.
La taxe qui pourrait être instaurée s'appliquerait soit aux appareils de climatisation, soit au HFC lui-même.
Ses partisans mettent en avant l'objectif de faire payer la pollution et d'inciter les industriels à trouver des solutions alternatives.
Ses opposants estiment quant à eux que ces gaz sont indispensables aux appareils réfrigérants et que leur remplacement serait extrêmement couteux, entrainant notamment un surcoût sur le prix des produits, notamment dans l'alimentaire.